Qu’est-ce rime avec “Trempette” chez vous ce WE ? Chez moi, c’est ceci...
Soufflette
Gros Beaufort à ma chère du Nord mer De quoi sur la digue se tenir aux réverbères Faire les cabines de plage se renverser Et tous vos chapeaux se faire envoler Baignette Des vagues de plus de quatre mètres Des marées d'écume blanche qui s’enchevêtrent Comme du rivage pour atteindre les invisibles monts Et de l’eau qui monte à l’assaut des pontons Sablette Un désert saharien envahissant les pas de portes et les rues Des grains dorés qui s'infiltrent aux endroits les plus incongrus Des dunes mouillées qui collent au visage et aux pieds Des géants de silice et de vent aux longs doigts argentés Silhouette Des ombres qui dansent dans la pluie qui s’épuise Visions floues d’une réalité prisonnière de bulles grises Les regards plissés dans la tourmente des éléments Des hommes aveuglés par la force du ruissellement Mouillette Les visages souillés de tant d’eau qui s’envole Les pardessus lourds et moites des flots qui s’affolent Les chevelures détrempées des gouttes turgides Les vents transformés en rivières translucides Odette... Jolie tempête au prénom de présage Baptisée en nos lieux pour ton remue-ménage Tu laisseras quelques souvenirs de ton bref passage De quelques jours bien frais sur nos locaux rivages
© Photos – Rêvesdemarins
Si Odette ne m’a pas laissée trop fermer l’oeil ce WE à la côte belge, elle m’a par contre, donné de jolies images de Nieuport. Je vous souhaite une excellente semaine et un beau début d’automne humide et venteux à souhait.
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Et si nous partions de l’autre côté de la Manche ce WE ? Je vous emmène à un des endroits historiques de l’empire britannique, près de Londres, pour une visite pas comme les autres. Si nombre d’entre vous ont développé une allergie aux hôpitaux pour y avoir passé trop de temps à leur goût, je vous promets que celui que nous allons visiter ce dimanche ne vous laissera pas de mauvais souvenirs. Je vous emmène à l’Hôpital Royal des Marins de Greenwich.
Un des bijoux de la couronne
Greenwich. 51° 29′ 01,2″ N, 0° 00′ 21,4″. Nous sommes dans les dernières années du XVIIe siècle. Un architecte britannique nommé Christopher Wren est commissionné par la reine Mary II pour la construction d’ un nouveau chef d’œuvre : l’ ensemble de Greenwich. Wren est un polymathe, astronome, anatomiste, mathématicien, physicien et artiste en plus de ses talents d’architecte. Après la cathédrale St Paul et de très nombreuses autres églises, Wren participe à la reconstruction de Londres après le grand incendie. Il débute ainsi la création de l’Observatoire Royal de Greenwich ainsi que de l’Hôpital Royal de la Marine. Les deux bâtiments seront plus tard nommés patrimoines de l’UNESCO.
L’Hôpital naval est conçu dans un but charitable pour l’accueil de membres de la marine royale britannique invalides ou en fin de carrière. Une maison de repos pour vétérans de la mer en quelque sorte. Dans cet esprit, Wren propose ses services gracieusement pour cet ouvrage. La taille et la magnificence de l'ensemble sont sensés représenter la puissance maritime de l’empire britannique.
Pension pour vétérans de la mer
A cette époque, de nombreux marins souffrent de carences alimentaires et sont invalides des suites de fortunes de mer ou de batailles navales (A l'époque, il était plus aisé d'amputer que de soigner... ). La plupart d'entre eux n’ont pas les moyens financiers pour une vie décente à leur retour à terre et se voient contraints de vivre de l'aumône. La reine Mary II est personnellement touchée par leur situation et décide ainsi de pourvoir à leurs besoins en faisant construire un hospice naval. L'hôpital leur offre ainsi un refuge providentiel pour leurs vieux jours. Ils y reçoivent couvert, repas, divertissements (criquet... ) et même une petite monnaie pour de la bière en échange de menus services tels que celui de remonter les horloges, de servir de guide pour les visiteurs ou encore d’aider en cuisine. La vie y est réglée et réglementée un peu comme sur un navire. Et si leur chambrette n’est pas grande, elle leur permet cependant d’y garder quelques effets personnels dans un espace privatif déjà bien plus vaste que leurs habituels quartiers de bord en mer.
Yet still I am enabled
Chapelle sixtine britannique
L'hôpital renferme un joyau artistique : son grand hall. Richement décoré par James Thornhill, peint en l'honneur du roi William III et de la reine Mary II. J'ai eu l'improbable chance de pouvoir le visiter lors d'une session de rénovation et d'en voir ainsi - au départ des échafaudages des rénovateurs - l'incroyable plafond de vraiment tout près. Ce plafond renferme un grand nombre de références à des instruments de navigation de l'époque, que vous reconnaîtrez peut-être sur les photos ci-après. Jugé trop flamboyant pour servir de réfectoire aux pensionnaires, le grand hall fut finalement utilisé à des fins touristiques.
© Photos – Rêves de Marins
Le grand Lord Nelson fut gardé dans ce hall en 1806, avant que sa dépouille ne soit déplacée pour des funérailles dans la cathédrale St Paul. L'hôpital ferme définitivement ses portes en 1869, les développements sociaux et médicaux ayant rendu ses services obsolètes.
Il se trouve à côté du Musée Maritime de Londres, de la réplique du navire Cutty Sark et de l'Observatoire Royal de Greenwich (trois lieux d'exception dont nous reparlerons d'ailleurs plus en détails dans un billet ultérieur). Un ensemble de bâtiments remarquables qui valent bien d'y passer toute une journée si l'histoire et la marine vous intéressent quelque peu.
Alors, lorsque les méchants virus nous auront enfin laissé tranquilles, peut-être l'occasion d'une petite visite à Londres ? Je vous souhaite un excellent dimanche.
Bon, j'ai eu les yeux un peu plus grand que le ventre en pensant que je pourrai faire tenir mon périple imaginaire en seulement trois billets... Voici donc enfin la quatrième et dernière partie.
Nous voici donc à Istanbul. Je vous laisse deviner ma prochaine destination...
Mer Noire et Dalmatie
La Mer Noire ! Et une visite (due depuis bien trop longtemps) à des amis musiciens professionnels ayant émigré en Bulgarie, près de Varna, en bordure de la mer noire. Des amis qui me font rêver semaine après semaine en postant des photos indécentes de beauté de l'endroit où ils vivent ! Réservez-moi ce plat de calamars et sardines grillées au citron dans ce bar désert au bord de la mer, svp (j'ai faim rien qu"à y penser. Miam... ). Escursions dans la nature et les villages traditionnels du pays et escale incontournable jusqu'au cap de Kaliakra, un peu plus au Nord. Un séjour délectable en très agréable compagnie.
Redescente ensuite vers la baie du Bosphore, pour repartir vers l’Ouest de l’Europe. Première étape, la Grèce évidemment ! Et tous les sites archéologiques possibles de la région. Sans oublier Santorin et quelques îles oubliées des touristes (si, si, il doit bien en y avoir encore quelques unes... ). Et peu importe si les vents sont contraires et menaçants. Ulysse sera avec moi !
Petit crochet par la Croatie et les remparts de la magique Dubrovnik une fois encore au coucher du soleil (lorsque les touristes sont tous loins, agluttinés dans les restaurants des ruelles de la vielle ville), Ensuite cap sur l'archipel des îles Elaphites qui en vaut réellement le détour : Lokrum, Miljet, Lopud, Šipan et ses deux petits ports pittoresques (Suđurađ et Šipanska Luka), Koločep, Jakljan ou encore Olipa... Puis l'archipel des Kornati. Ensuite, un petit tournant par Slano, où j'ai jadis laissé un petit bout de mon coeur à une petite chienne errante que j'ai nommée "Slona" (voir un billet précédent intitulé "Tempête"). Qui sait, m'aura-t-elle attendu toutes ces longues années ?
© Photos – Wikipedia & Rêves de Marins
En quête de culture et de volcans
Ensuite cap sur Venise... Quoi de plus merveilleux que de pouvoir s'amarrer en face de St Marc et de flâner dans les ruelles marines de la cité des Doges. Je ne m'en lasse jamais ! De préférence en hiver pour éviter la foule. Une balade dans le quartier de l'Arsenal à la recherche des sous-vêtements du dignitaire local ! (voir le billet correspondant " Les Chaussettes du Doge").
Une fois en Italie, la liste s'allonge... Difficile de choisir. Tout y est beau ! Si je m'y arrête, c'est d'office pour quelques mois. Tout m'y intéresse ! La langue, la culture, l'art culinaire, la nature. Impossible de résister à la tentation d'y faire une très longue escale. Je rêve de voir Vérone, les Pouilles, les Marches , La Calabre, Naples et d'y explorer en détails la nouvelle Pompéï et l'ancien port romain d'Ostie (nous reviendrons sur ces sujets dans de prochains billets), l'ancien port de Gênes. Sans dire qu'une nouvelle visite à l'intérieur du pays me fait toujours incroyablement plaisir.
Avant de remonter vers le Nord de l'Italie, je fais un crochet par les iles Lavezzi et plus au Sud, des volcans des îles éloniennes dont j'ai un souvenir précieux. Avec un peu de chance, le Stromboli sera de nouveau en éruption ! Je choisis ensuite de faire escale en Sicile, un des endroits les plus fabuleux en ce concerne le berceau culturel... Les vestiges antiques y sont légion et incroyablement conservés : Taormina et une balade dans les couloirs de lave ou sur les flancs de l'Etna, Syracuse, Agrigente, Selinunte, Segesta, Erice, Marsala, Monreale, Cefalu, Enna et bien d'autres... Une île paradisiaque pour les amoureux des vieilles pierres comme moi.
© Photos – Wikipedia & Rêves de Marins
Remontée via la Corse pour une nuit un peu plus chic au milieu des yachts de la marina de Bonifaccio. Et visite aux Calanques dorées. Et là, décision difficile : pile, je remonte vers la côte française, Saint Tropez, Port Grimaud, Marseille et toute la côte vers l'Espagne. Face, je file vers le Sud pour revoir la Sardaigne. Le choix est complexe... J'opte pour le calme de l'île au Sud, qui m'emmène ensuite vers Majorque pour une autre découverte de criques désertes et de réserves naturelles (je deviens décidément très asociale avec les années... ).
Mais, le temps passe, et il va me falloir reprendre tout doucement le chemin des brumes du Nord. Cependant, pas encore avant avoir d'avoir refait une escale par la fabuleuse Barcelone. Et tant que j'y suis, pourquoi ne pas remonter chez des amis artistes près de Carcassonne, que je rêve de voir depuis ma petite enfance. Un petit arrêt dans le temps, face aux sommets enneigés des Pyrénées. Le bonheur... Une fois le long de la côte espagnole, je poursuis ma quête vers le Sud en repassant à Gibraltar, côté espagnol cette fois, où je laisse le voilier pour quelques jours pour revoir un des joyaux de notre monde : l'Andalousie : Grenade, Cordoue, Séville, pour terminer par la belle de Cadix... Port tranquille aux couleurs de l'or du soleil couchant. J'y fais mes provisions de merveilles pour les yeux : l'Alhambra, la Mezquita et l'Alcazar entre autres. L'homme, lorsqu'il oublie ses différences religieuses, peut tout de même réaliser des miracles en mélangeant les diverses cultures...
Remontée atlantique
Le Portugal est à portée de voile. Impossible de passer devant Faro, Sagrès ou encore le Cap Saint Vincent sans y faire un saut. Histoire d'aller saluer les premièrs navigateurs qui se sont embarqués pour le nouveau monde. Et nous voici à nouveau dans les eaux froides et tumultueuses de la côte atlantique. Je l'adore... Simple, sauvage, prenante. De beaux rouleaux, impressionnants où les meilleurs surfeurs du monde défient les vagues titanesques. Ainsi débute une longue remontée le long des côtes occidentales du continent européen. Et si on se faisait une bonne dorade grillée à Péniche, puis un petit bar dans la vieille ville de Lisbonne ? Elle grouille d'endroits charmants... La navigation se fera sans soucis. Cap sur la Corogne pour une escale avec un bout sur le chemin de Compostelle. Je file ensuite vers Bilbao y voir d'anciens collègues. Même si je ne comprends goutte à la langue locale, que je trouve succulente. Puis vient le fameux Golfe de Gascogne. Il va falloir être vigilant ici... Destination l'envoûtante Bretagne.
Armorique, ma toute belle
Me voilà enfin là par où j'aurais logiquement pu débuter mon périple. Là où tout marin rêve d'être. Là où tout marin redoute d'être... Le pays breton, là où la mer décide du destin des hommes. La plupart des ports y sont attrayants. Je remonte vers Guernsey et Jersey après avoir jeté l'ancre à St Malo et tenté une sortie jusqu'au Mont Saint Michel, dont je ne me lasse pas. Je reprends la route de la Normandie (Honfleur, Etretat, Fécamps, Dieppe, Le Tréport, Saint Valéry et une petite pause chez une amie au Crotoy). Cependant, je ne suis pas encore prête à terminer mon tour à la voile sans avoir exploré le îles britanniques... Alors, cap à l'Ouest pour un tour de l'autre côté de la Manche, histoire de terminer cette belle aventure en beauté.
© Photos – Wikipedia & Rêves de Marins
Il y fait humide, n'est-il pas ?
Me voici embarquée pour quelques derniers mois de navigation, probablement sans soleil. Mais peu importe... Brighton, un petit tour de l'île de Wight (et qui sait, l'occasion de participer à nouveau à sa fameuse régate "Around the Island"... ), Bornemouth, Torquay, Plymouth, Bristol, Cardiff, direction Cork au sud de l'Irlande, Gyleen, Kinsale. Si j'ai encore le temps, je remonte par Galway. Sinon, je choisis Dublin, puis Belfast. Mon but final est le Nord de l'Ecosse en passant par les mers intérieures. Oban, Glencoe, Fort William, Tobermory, Mallaig jusque Kyle of Lochalsh pour une longue pause chez des amis habitant au bord de trois lochs magiques, gardés par le mystérieux château d'Eileen Donan (souvenez-vous, celui sur les boîtes de biscuits). Traversée pour une visite de l'île de Skye et relâche à Portree. Et puis, cap sur les immensités des Hébrides intérieures... Stornoway, Harris, Lewis, Ness. Le temps de me replonger dans le monde de Peter May.
Mais, ma boussole m'attire toujours un peu plus vers le Nord. Et je poursuis ma route vers les Orkneys, puis les Shetland, où je vais me refroidir un peu pour quelque temps et prendre des réserves de solitude. Puis, la saison me rappelle à l'ordre et m'enjoint à redescendre tout doucement vers le Sud. Je repasse à l'Est de l'Ecosse, pour terminer ma boucle britannique par une escale jusque dans la Tamise pour aller m'amarrer aux docks de St Katharina en plein centre de Londres. Pour y parvenir, je fais un détour par Pin Mill et Ipswich, doux souvenirs de navigation.
Et voici enfin venu le moment de reprendre la route du retour vers ma contrée natale, pour venir m'amarrer pour de bon à la fin du chenal de Nieuport... Ereintée, mais heureuse. Quel beau voyage... Un jour, qui sait...
© Photos – Wikipedia & Rêves de Marins
Bon, sur ce long rêve en billet, j'entame mon dernier jour de vacances avant la reprise en force lundi pour une fin d'année qui s'annonce sportive au travail... Alors, je m'en vais chérir ce dernier dimanche ensoleillé et vous souhaite d'en profiter autant que moi ! Bon dimanche à tous.
Un titre de billet qui parlera aux initiés... Un petit billet pour le plaisir des grands enfants rêveurs, amoureux du grand Nord, du froid, du givre et des aurores boréales. Je vous offre aujourd'hui la Légende d'Ahtohallan, la rivière de glace. Merci pour ton inspiration, cher Walt !
Il était une fois dans le grand Nord...
Il était une fois un pays où le soleil ne se couchait jamais en été et où la nuit resplendissait de mille feux drapés en hiver. Le sol y était gelé en permanence et la glace pure y reflétait les couleurs du ciel coloré. Un royaume perdu au milieu des fjords et de vertigineuses montagnes. Deux sœurs y habitent le village nordique d’Arendelle, en paix et en sagesse. Une communauté vivant du produit des pêches locales dans le fjord. Un petit monde attaché à la nature et à ses traditions ancestrales. Des maisons de bois et de pierre. Des décorations inspirées des fleurs et des éléments naturels comme seuls les gens du Nord en ont le secret. Elsa, la plus âgée des deux sœurs, y règne en bonne reine sur le pays. Elle possède des pouvoirs enchantés capables de transformer tout sur son passage en glace et en givre. Personne ne connaît l’origine de sa nature hors du commun. Cependant, elle a appris à contrôler ses facultés magiques.
Les parents des deux sœurs avaient péri des années auparavant dans un naufrage sur la grande mer. Elsa soupçonne qu’ils étaient partis à la recherche du secret de ses pouvoirs et qu’ils avaient été surpris par le mauvais temps en mer. Et au fond d’elle, une petite voix lui dit qu’elle est différente, qu’elle appartient à un autre monde. Un soir où les soieries nocturnes aux teintes d’émeraude font leur apparition dans le firmament, Elsa, ne peut trouver le sommeil. Un chant lointain monte au ciel du fond des forêts millénaires. Une voix pure, douce. Et sans trop savoir pourquoi, cette voix la trouble au plus profond, un peu comme si elle lui était familière. Elle finit par se laisser attirer par la voix mélodieuse et la suit dans la forêt enchantée. Sans le vouloir, elle y réveille les esprits élémentaires (l’eau, le feu, l’air et la terre). Ces derniers attaquent ensuite la petite communauté et forcent les habitants à quitter leur village. Elsa découvre qu’une ancienne querelle entre leur village et celui de Northuldra a jeté un sort sur la région et plongé la forêt dans un brouillard épais. Les erreurs de leurs ancêtres semblent peser lourd sur leurs épaules. Elsa, sa sœur Anna et ses amis Kristoff, Olaf et Sven décident alors de partir à la recherche des esprits pour libérer la cité du danger qui la guette. Ils doivent, pour se faire, retrouver leurs ancêtres, décrypter leur secret et trouver le passage manquant permettant de faire le lien entre les quatre esprits et les humains.
Ahtohallan
En chemin, ils arrivent à la Mer Sombre et y trouvent l’épave du navire sur lequel s’étaient embarqués ses parents. Dans un compartiment étanche, ils y révèlent une carte menant à Athohallan, la rivière de glace dont leurs parents leur avaient parlé dans leur petite enfance. Entre brumes, cristaux et chevaux de glace (le fameux “Kelpie”, ou “Nøkk”, gardien de la mer de glace), Elsa s’en repart à la quête d’Ahtohallan, qui renferme tous les secrets de son passé et les clés de la vérité. Et des aventures incroyables suivent leur voyage. Mais je ne vous en dis pas plus. Je vous laisse découvrir la suite et la fin du récit.
Des graphismes époustouflants. Des compositions musicales enivrantes avec les voix uniques d’Idina Mendel, Kristen Bell, Jonathan Groff Kristina et Evan Rachel Wood entre autres. Des paysages fantasmagoriques. Un récit riches en elfes, trolls et autres créatures de glace fabuleuses. Une suite réussie à la saga de Frozen I/la Reine des Neiges. D'ailleurs, si vous aimez les belles photos de givre, jetez un coup d'oeil à un billet de ce blog de 2017 "Le Roi des Neiges".
Certains diront qu’il s’agit bien plus d’un dessin animé pour les grands que pour les petits. Moi, je ne m’en plains vraiment pas... Il m’a encore plus envoûtée que sa première partie. Merci à la bonne âme qui m’a permis de découvrir ce petit bijou cinématographique récemment ! J’en ai gardé des étoiles en forme de cristaux de neige plein les yeux et le cœur.
Alors, installez-vous bien dans votre sofa sous une couverture bien chaude, le chat sur les genoux et sous une lumière tamisée. Et c’est parti pour un mini-voyage au Pays des Vikings !
Un excellent dimanche à tous (cela dit, sans trop de neige ou de glace... ). |
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August 2023
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