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La Mouette Rieuse

25/2/2017

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Qui dit mer, dit aussi grands voyageurs... Et quoi de mieux qu'une paire d'ailes pour découvrir le monde...

Dans un des billets précédents à propos de la Russie, je vous avais promis des oiseaux de mer. Je tiens donc parole. Je vous emmène aujourd'hui rencontrer quelques spécimens particulièrement attachants  de ces volatiles marins, explorateurs du monde, à travers des destinations qui ont marqué leur sillage aérien... ainsi que ma mémoire.


A la quête de l'Absolu
Premières destinations de nos amis à plumes: Carlsbad Caverns National Park, New Mexico. Ensuite Santa Fe, California et ensuite Monterey Peninsula Landfill et Death Valley National Park, USA. 

Notre premier goéland s'appelle Jonathan. Il s'agit du cousin à duvet d'un grand explorateur de l'Afrique.

Voyage pour son rôle dans la version cinématographique d'un ouvrage de Richard Bach. Des images époustouflantes et une musique à vous crever le coeur. Le tout sur la voix profonde au timbre troublant de Neil Diamond. Une épopée métaphorique et allégorique d'un jeune goéland que l'amour du vol entraîne dans une quête d'absolu, et qui quitte son groupe à cette fin. A voir ou à revoir si l'on aime la poésie, les images de mer et de solitude.

" You have the freedom to be yourself, your true self, here and now, and nothing can stand in your way." (Jonathan Livingston Seagull, Richard Bach)    

Convoyeurs de fonds (marins)
Notre second héros du jour se fait appeler Capitaine Orville. Un tout autre registre. Un envol au départ de New York pour le Bayou de Louisiane, en réponse à un message dans une bouteille d'une petite fille. Une traversée aérienne - et surtout des décollages délicats - pour conduire un mini duo Sherlock & Watson vers l'objet de leurs recherches de souris détectives.

Notre troisième protagoniste n'est autre que l'Amiral. Nigel, de son petit nom. Un désopilant pélican  débordant de générosité, qui offrira ses services de taximan à quelques poissons en mal de mer, sous l'oeil avide des mouettes du port de Sydney. 
Un passage, avec un poisson clown et son adorable compagne amnésique, dans les abysses marines, à travers les bancs de méduses et les migrations de tortues dans les grands courants océaniques. Un périple  jusqu'aux marinas australiennes.

En parlant d'Amiral, la ressemblance avec son homonyme humain, grand marin et écrivain que j'apprécie tout autant, viendrait-elle donc de la grande gueule ou serait-ce plutôt du grand coeur?

Air-udit
Notre quatrième acteur porte le nom emblêmatique d'Eurêka ou Scuttle. 

Se disant grand savant, ce goéland farfelu constitue le lien entre la Petite Sirène et le monde des terriens. Prétendu grand connaisseur des hommes, ses explications quant aux objets trouvés au fond de l'océan s'avèrent plus abracadantes les unes que les autres. 
Mais notre ami à plumes permettra surtout à la Petite Sirène de rencontrer le Prince Erik. Marin qu'elle sauvera d'un naufrage et dont elle tombera éperdument amoureuse. Je ne vous en dis pas plus: vous connaissez déjà la suite de ce récit.

Yves & Yvette
Je ne me souviens malheureusement pas des noms de tous les autres oiseaux croisés en mer, mis à part du couple entrevu à St Malo: Yves et Yvette, que je vous ai présenté dans un billet précédent. Mais toutes ces rencontres avec ces voyageurs de l'air ont été mémorables.

Retour donc en Europe par le Nord pour revoir Bergen, Oslo et la magie nordique. Et comme il y a fait un peu froid tout de même, nos amis décident de redescendre vers la chaleur. Passage par notre chère Mer du Nord, pour continuer vers le Sud et prendre une petite semaine de relâche en Andalousie, à Cadix la toute belle. Le temps d'y admirer des couchers de soleil fabuleux et d'y faire le plein de soleil. Ils remontent alors par Saint Malo et le Mont Saint Michel, le temps de saluer Yves et Yvette, toujours aussi friands de frime sur la pellicule!


La Mouette Rieuse
Enfin, nous voici de retour au port de Bruxelles, pour y rejoindre notre Mouette Rieuse nationale. Vous savez, celle qui oblige tous les membres  de l'équipe de rédaction du journal de Spirou à porter un casque lors de ses accès d'humeur et qui ouvre les boîtes de sardines pour le chat avec son bec...
Voici la fin d'une navigation aviaire à travers un petit billet "poids plume" (légèreté du sujet oblige...). Et si vous avez pris des congés en cette semaine de Carnaval et adopté la mer comme endroit de villégiature, remettez donc mon bonjour aux goélands, mouettes et autres navigateurs ailés que vous y croiserez!

Bon dimanche à tous.

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Dans l'Oeil du Cyclone

18/2/2017

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Tout se fige soudainement dans un calme suspect. Le vent a baissé le ton. Les vagues ont cessé leurs injures, la pluie a remis ses larmes en poche. Le Maître des flots a rappelé ses serviteurs et s'en est retourné dans son antre marin. Une pétole irréelle. Même les cieux ont repris temporairement une couleur d'azur. Cependant les nuages d'encre menaçants ne pendent pas bien loin. Combien de temps cette période de grâce va-t-elle donc durer?
La mer et son caractère bouillonnant. Ses sautes d'humeur imprévisibles et ses accès de colère légendaires. Son franc-parler. Un bon coeur derrière ses apparences de rudesse. Le vent qui souffle et ne dit mot, pourtant. Il a beau hurler, jamais il ne se révèle. Une réserve à toute épreuve. Et pourtant, au fond de lui se cache une profonde tendresse. Le vent aussi et sa fâcheuse habitude de parcourir sans cesse le globe d'est en ouest, d'ouest en est, du nord au sud et du sud au nord. Il a la bougeotte. Pas moyen de le mettre en cage. Il a besoin de sa liberté. Sans elle, il se sent enfermé. Et cependant, toujours, il revient à la mer. Il ne peut s'en passer. Et ces deux-là s'aiment pourtant. Malgré les apparences de leur relation amour-haine, ils ont besoin l'un de l'autre. Mais aujourd'hui, la discussion s'est envenimée. Et les deux Titans se sont empoignés. Et m'ont allégrement désignée comme arbitre et confidente de leurs griefs.  Et me voici à l'eau... Un bain glacé bien malgré moi. Sans gilet de sauvetage ni ligne de vie.  Sans navire à proximité pour me sortir de ma prison humide et glacée.
Depuis des jours et des nuits, je suis balancée, retournée, brimballée par ces flots furieux, incontrôlables, haineux de désespoir. La mer s'est mise hors d'elle sous l'emprise du vent et de ses propos malheureux. Alors que je n'ai ni blessé ni même injurié cette mer qui me tient en son sein. Tout ce que je demande, c'est que ces eaux tempétueuses se calment enfin et retrouvent une certaine sérénité. Et qu'elles me laissent remonter à bord de mon navire. Les forces commencent tout doucement à me quitter. Et Dieu sait si je possède des capacités de résistance. Mon corps et mon esprit faiblissent. Je commence à ne plus rien sentir, épuisée de fatigue et de lassitude. Et la tentation se fait grande  de cesser de me battre pour réconcilier les Titans. Cette accalmie inattendue dans la tempête est la bienvenue. Quelques heures de répit, enfin...
Me voici dans l'oeil du Cyclone. A moins que  je me trouve tout simplement dans celui du Cyclope... A présent, je n'entends plus rien, sinon le silence. Un silence inquiétant de par son mutisme. Une pause dans le vacarme. Comme un coeur qui vient soudainement de cesser ses battements. Va-t-il recouvrer son rythme effréné? Le vent va-t-il reprendre sa litanie et ses mugissements lugubres? Les vagues vont-elles redevenir montagnes? Bon sang, cet intermède n'est-il donc qu'entracte? Ou puis-je enfin croire à la fin du spectacle de pugilat entre Eole et Neptune? Je rêve que cette période de rémission dure toujours... Qu'ils trouvent enfin un terrain d'entente, pour repartir sur de bonnes bases. Et que je sorte enfin de l'Oeil du Cyclone.
Je me souviens de ces moments de grand bonheur, lorsqu'Eole et Neptune trouvent l'harmonie. C'est alors que mon voilier glisse sur les vagues à cette allure magique en gonflant mes voiles comme les ailes d'un immense goéland qui plane au ras de l'eau. Je voudrais voler à nouveau bientôt en bateau... 
" (...) J'ai vu tous les océans, leur bleu profond, la grisaille des tempêtes, les lagons émeraude et limpides. Mais ce soir, la mer est noire. (...) " (Cette nuit, la mer est noire, Florence Arthaud)
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Je me sens proche de Florence aujourd'hui. J'avais oublié à quel point on pouvait se sentir seul dans la tourmente. Un récit poignant de la Petite Fiancée de l'Océan. Seule en pleine mer, elle tombe à l'eau. Il fait obscur, un noir d'encre. Le début d'une très longue nuit de bataille contre les éléments. Débutent alors d'interminables heures d'attente, d'espoir, de pensées et finalement de soulagement lorsqu'elle est retrouvée par les équipes de sauveteurs.
Bonne lecture de cette courte nouvelle d'une fabuleuse femme marin, qui nous a quitté trop tôt, mais qui reste dans nos mémoires comme un personnage avide de liberté, de mer et de découvertes; et qui a su aller jusqu'au bout de ses rêves.

Un an jour pour jour depuis la création de ce blog... Le temps file. Et je poursuis mon rêve d'écrivain marin...

Sur ce, je vous souhaite un beau dimanche, sans nuages, orages, ni tempêtes!

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Le Petit Crabe

4/2/2017

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Il était une fois un petit crabe...
On ne savait ni d'où il provenait, ni pourquoi la nature l'avait envoyé chez les humains. Il avait un caractère inégal, des formes les plus diverses et la faculté de modifier son aspect au cours du temps. Une créature bizarroïde que l'homme avait du mal à combattre, repousser ou à apprivoiser. Et pourtant...

Crabe Fantôme
Invisible à première vue. Le petit crabe peut apparaître instantanément et puis se dissimuler à nouveau, pouvant courir à des vitesses virtigineuses en changeant constamment de direction. Un système de mimétisme impressionnant. Et lorsque l'on s'aperçoit de sa présence, il s'est déjà confortablement installé dans votre habitation, s'est approprié vos charentaises, a déjà grignoté vos victuailles et endommagé quelque peu vos biens. Pas évident de se débarrasser de ce locataire clandestin.

C'est souvent par hasard, lors de menus travaux ménagers que l'on s'aperçoit de sa présence. Des symptômes de fuite ou de lézarde quelconque dans un mur, et hop, on y découvre un hôte indésirable, discret, mais bien tapis au chaud, à l'abri des regards. Pour d'autres, c'est la tuyauterie qui se bouche, ou pire, la charpente qui s'écroule inopinément. Et parfois, alors que l'on n'a rien remarqué, ce n'est qu'en faisant expertiser l'habitation, que l'on découvre le pot aux crabes (qui sont roses, bien évidemment... ).

Des locataires envahissants
Certains manifestent une préférence pour des endroits particuliers de votre logement: le frigo (le gastrocrabe), les voies d'irrigation (le leucocrabe), le grenier (le cervocrabe), la plomberie (l'intestinocrabe), le garde-manger (le mammocrabe), la cave à vin (le cirrhocrabe), voire la charpente et les murs porteurs (le myelocrabe et le Kahlercrabe), et même jusqu'à votre cabinet de toilette (le colorectocrabe). Ils font preuve d'un sans-gêne absolument indécent.

Certains se sentent d'ailleurs tellement bien dans leur nouveau domicile, qu'ils n'hésitent pas à essayer plusieurs pièces de la maison, jusqu'à parfois s'infiltrer absolument partout. Une fois installés, ils s'incrustent. Une vraie plaie.

Egalitaire, mais pas démocratique
Vous croiriez bien que ces petits monstres ne prennent possession que d' habitations en relativement piteux état, voire insalubres. Mais non! Ils pratiquent l'égalitarisme: tous sont logés à la même enseigne. Les propriétés les mieux entretenues n'y échappent pas non plus... Même une hygiène de vie impeccable n'évite pas le risque de les voir débarquer un jour sans invitation aucune. Egalitaires, mais pas démocratiques, les bestioles. 
Gros gourmands
Ces petits gloutons trouvent souvent un moyen pour se développer. Ils muent notamment. Souvent fréquentes au début de leur vie, chacune de leurs mues peut correspondre à un doublement du poids et de la taille de l'animal. Ils n'en ont jamais assez. Il leur faut toujours plus de nourriture, plus de place, plus d'espace. Ils étendent leurs pattes partout où ils peuvent. De véritables petits goinfres voraces. De vrais bouffeurs d'énergie. Le savant Hippocrate les avait décidément bien décrits.
Patience et persévérance
Pour vous en débarrasser, il va alors falloir faire appel à des spécialistes de la décrabisation. Certains étant plus aisés à consulter et à comprendre que d'autres. Ces techniciens utilisent souvent un jargon incompréhensible pour la majorité d'entre nous. Et puis, surtout, il va falloir leur faire confiance. Leurs méthodes sont plus complexes, onéreuses et longues les unes que les autres. Il s'agit là d'un marathon. Alors, prenez votre mal en patience. Et ne vous découragez surtout pas si le traitement proposé ne fonctionne pas tout de suite. Il faudra parfois vous y reprendre à plusieurs tentatives et parfois avec de nouveaux ingénieurs pour parvenir à jeter dehors vos invités indésirables.

Et lorsqu'une méthode s'avère inopérante (en sus de ses effets secondaires souvent désagréables dûs aux produits utilisés ou à l'ingérance des travaux et la grande fatigue qui les accompagne), n' hésitez pas à tenter autre chose. Ne perdez surtout pas le moral. Car très souvent, la persévérance et le courage paient. Et au bout de longs mois ou d'années d'efforts, les vilaines bébêtes finissent par déloger et vous laisser enfin tranquille.

Bien sûr, de temps à autre, elles finissent par réapparaître. Mais alors, reprenez votre bâton de pèlerin et relancez vous dans la bataille. Les techniques de décrabisation ne cessent d'évoluer et de s'améliorer avec les années. La recherche dans ce domaine s'intensifie et avance chaque jour. Et vous avez toutes les chances de parvenir à chasser à nouveau les intrus.

Crabby but bearable
Enfin, dans les cas les plus récalcitrants mais gérables, à savoir lorsque certains petits crabes acceptent de cesser leur croissance et de se faire très discrets, peut-être apprendrez-vous à cohabiter en paix. Dans ces cas-là, parviendrez-vous, qui sait, à les tolérer chez vous, et à vous accomoder de leur présence permanente.
Crabbatruc!
Une astuce? Vous entourer de personnes bienveillantes durant ce genre d'entreprise vorace d'énergie, de temps et de moyens. A commencer par la famille, qui supportera les contraintes, vos plaintes, vos jurons et votre caractère plus difficile durant la période. Les amis, qui comprendront que vous n'aurez plus le temps ou l'envie de les voir si souvent, mais qui continueront à prendre de vos nouvelles régulièrement, à vous soutenir à chacune des étapes. Votre employeur, qui acceptera de vous donner la flexibilité pour vous permettre de combiner vos activités aussi longtemps que nécessaire et de vous accueillir à bras ouverts à votre retour. Et même de personnes plus éloignées ou inconnues, pour vous encourager tout le long.

C'est aujourd'hui la Journée du Crabe... Une journée où mes pensées sont toutes à vous, vous dont un petit crabe a, un beau jour, choisi la vie comme chambre d'hôtel, et s'est installé sans vergogne.

Le 4 février: une drôle de journée, car également celle de mon patronyme. Alors, je me sens d'autant plus proche de ceux dont le petit crabe a investi l'existence bien malgré eux.

" Quand la mer lutte contre le sable, celui qui trinque, c'est le crabe... " (Là où les tigres sont chez eux, Jean-Marie Blas de Robès).
Picture
Enfin, et j'en terminerai ce billet par là, où que vous en soyez dans votre rencontre, bataille ou cohabitation avec un petit crabe, cette journée vous est dédiée.

Qu'elle vous porte chance, pour que vous sortiez bien vite de ce panier de crabes... Et puis, en tant que marins, vous avez la mer comme alliée ;-).
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