Les Poissons... Les gros, les petits, les laids, les beaux, les plus imprédictbles ou les favoris à la carte...
Lesquel vais-je donc choisir au menu ce dimanche et surtout déguster après coup... Pas envie de risquer une indigestion ni une intoxication alimentaire... Décision délicate. Sur la carte, ils font tous bonne figure. Si certains semblent appétissants, ils peuvent parfois comporter des surprises une fois dans l’assiette. Et le chef cuisinier me les recommande tous, bien entendu. Ma boîte aux lettres déborde de formules promotionnelles pour toutes ces recettes miracles. Et pourtant... En termes simples, je devrais idéalement choisir les Poissons sans arrière goût, pas trop d’arêtes et à la chair ferme. Ceux qui feront le moins de mal au palais et nourriront leur homme. Et puis surtout... dont la saveur qui tiendra ses promesses (le défi ultime !!!! ) .... Définitivement une cuisine hautement complexe... Sur la carte du restaurant communal, il y en a de toutes les tailles, de toutes les formes et de toutes les couleurs : des bleus, des rouges, des verts, des noirs et même des bariolés. Il y a les incontournables éternels : les coelacanthes, les mérous ou encore les anguilles. Puis les nouveaux venus : requin, rascasse, poulpes (qui font dix choses à la fois) et même du Nemo (vous savez, ce petit Poisson qui tente de sauver la planète à lui tout seul). Ah, j’oubliais : il y a aussi du chirurgien (ou Dory) au menu (celui qui oublie aussitôt ce qu’il a dit). Les clients attablés autour de moi inspectent la carte. Certains suivront ce que le chef recommande, comme un véritable banc de sardines (histoire de se laisser mettre en boîte). D’autres resteront sur les grands classiques. D’autres encore oseront les plats les plus exotiques. Tous chercheront un met de qualité, unique et délicat. Mais la S-élection du Poisson demeure pourtant très importante. Passer le repas et faire disette sans donner son avis nous laisserait non seulement sur notre faim mais reviendrait surtout à donner sa voix aux pires menus... Alors, rendons-nous à l'auberge communale ce dimanche pour faire un choix de repas.... Le meilleur ou le moins mauvais. Même si la décision terminera peut-être en fin de compte dans une bouillabaisse dont toute une série de Poissons seront les ingrédients finaux (y compris ceux que vous n’aurez pas trop désiré voir arriver dans votre assiette).
Les poissons, les poissons. Oh I love les poissons.
Love to chop and to serve little fish First I cut of their heads. Then I pull out their bones. Ah mais oui, ça c'est toujours delish Les poissons, les poissons, hi hi hi, haw haw haw With the cleaver I hack them in two. I pull out what's inside. And I serve it up fried God, I love little fishes, don't you? Here's something for tempting the palate, prepared in the classic technique First you pound the fish flat with a mallet. TThen you slash through the skin Give the the belly a slice. Then you rub some salt in. Cause that makes it taste nice Zut alors! I have missed one. Sacre bleu, what is this? How on earth could I miss such a sweet, little succulent crab? Quelle dommage! What a loss. Here we go, in the sauce And some flour, I think just a dab, Then I stuff you with bread It don't hurt, 'cause you're dead, And you're certainly lucky, you are 'Cause it's gonna be hot in my big silver pot Tout à l'heure, mon poisson! Au revoir! (Les Poissons, Alan Menken / Howard Elliott Ashman - The Little Mermaid Walt Disney)
1 Comment
Dawn
14/10/2018 09:54:07 am
Trop trop mignon!!! Une de mes films préféré 🐙🐟🦀
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AuteurArchives
August 2023
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